Nous vous partageons ce texte en hommage au patriote Njaka, victime, le 21 janvier 2012, de la violence et de la répression du régime totalitaire et criminel de Rajoelina .
The Freedom of Njaka
Je suis malheureux car notre ami a perdu la vie.
Il courait vers la liberté mais il s’est fait tuer.
Crâne fracassé sans pitié.
Il aurait voulu crier : Liberté ! Liberté !
Mais le pouvoir l’a fait plier
Sans pitié.
Il aurait voulu chanter avec nous :
Liberté ! Liberté !
Mais sa première note a été enterrée.
Je souffre car il a laissé
une femme bien-aimée
Des enfants aimés mais brisés
maintenant.
Il ne reviendra plus jamais.
Mais son rêve de Liberté
ne cessera jamais.
Je gémis car notre pays est emprisonné
par la haine, la violence, la vengeance.
Je ne trouve pas de repos tant que le rêve de Njaka,
notre ami ne s’est pas réalisé :
Liberté ! Liberté ! Liberté !
Comme à la criée :
Liberté ! Liberté ! Liberté !
Adieu l’ami. Dors en paix.
Steir YOR
Tsimok'i Gasikara 
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